Contes et légendes normands




Contes et légendes normands Dans la tradition normande , le soir de Noël l'aïeul de la famille dépose dans la cheminée les tisons de l'an passé qu'il mêle à la bûche nouvelle, qu'on appelle la souche ou la coque de Noël. Au moment on l'on allume le feu, les enfants s'éloignent pour prier que cette souche leur fasse des présents, à leur retour ils découvrent des paquets d'épices, de dragées et de fruits confits. C'est donc autour de feu que se déroulaient les veillées de Noël normandes, et c'est également lors de ces réunions que les légendes et les histoires étaient contées. On y racontait par exemple que les animaux se mettent à genoux pendant la célébration de la messe de minuit, mais il était bien dangereux d'aller dans l'étable pour le vérifier, car les animaux surpris auraient pu se ruer sur les hommes.

: Envoie bisous

Dans les Pays de la Loire Noël se nomme Nan et donne lieu à quelques coutumes ancestrales. En Anjou, tuer le cochon fait partie des préparatifs de Noël. Devenu jambon, il sera béni lors de la messe de minuit, puis sera placé dans la cheminée jusqu'au printemps. Très populaires en Anjou, les naulets, de petits santons représentatifs du terroir angevins, ornent les crèches. Tandis que la messe des Naulets, la veille de Noël, fait revivre en patois les musiques et costumes traditionnels du Maine-et-Loire.

Les crèches vivantes Nostalgiques des Noël d'autrefois, les Catalans du Languedoc-Roussillon, remettent au goût du jour leurs crèches vivantes, qu'on appelle Pessebre. De tradition ancestrale, le pessebre vivant est un spectacle reconstituant la scène de la nativité où les personnages interprètent des chansons traditionnelles. Un moment de recueillement et de fête auquel on assiste le soir de Noël dans les églises de Perpignan et des villages alentour.

Le Père Chalande, version savoyarde du Père Noël En Savoie comme en Suisse, le père Chalande est une autre version du père Noël. Très proche du Santa Claus anglo-saxon, ce vieux bonhomme à la longue barbe blanche et au chapeau pointu, déposait des cadeaux aux enfants en passant par le cheminée. Aujourd'hui en Savoie, c'est désormais le père Noël qui assure la tournée, en revanche la tradition gourmande des rissoles, ces petits beignets de fête fourrés à la compote de coing ou de pomme, régalent toujours petits et grands, et ce, depuis des temps ancestraux

Les fêtes de Noël en Corse donnent lieu à de jolies traditions. Le 24 décembre, dès le matin, les enfants étaient accaparés par la préparation d'un bûcher, le Rocchiu, destiné à être embrasé à la sortie de la messe de minuit. Dans l'âtre de chaque maisonnée, il fallait mettre autant de bûches que de convives afin d'assurer la bonne santé de tous. Dans certains régions, on pratiquait les sept veillées, en allant rendre visite, une bûche sous le bras, à sept familles du village. Avec le caviar d'oeufs de mulet, la coppa, la cabri rôti et la bûche à la chataîgne, le repas de Noël rassemble le fleuron de la gastronomie corse. Bien sûr les chants de Noël on une place importante et c'est un enfant du pays, Tino Rossi, qui a laissé celle que tous les enfants fredonnent encore, "Petit papa Noël".

La Noël breton, qui a beaucoup hérité des traditions celtiques, donne lieu à des fêtes empruntes de magie et de légendes. On raconte qu'au moment où sonnent les douze coup de minuit, on peut parfois entendre le son des cloches des villes englouties et des menhirs sortir de terre pour boire l'eau des sources. Issu des coutumes celtiques, le sapin, avant d'être celui de Noël, était connu comme l'arbre de l'enfantement, qui célébrait la renaissance du soleil. Avant de partir pour la messe de minuit, la tradition veut que les Bretons allument une bûche enrubannée et aspergée d'eau bénite et de sel, tandis que les enfants récoltaient dans leurs sabots pommes et oranges.

Dans les Noël d'antan en Bourgogne , les enfants chantaient de maison en maison la veille de Noël et recevaient des friandises, non pas du père Noël, mais d'une bûche ! Une bûche qui devait brûler toute la nuit de Noël afin que la Vierge puisse venir s'y réchauffer et que l'on creusait pour la remplir de gourmandises, fruits secs, bonbons et fleurs séchées. Le jeu consistait pour les enfants à les attraper avec un bâton. Pas de père Noël en Bourgogne, mais le père Janvier qui déposait des étrennes dans les petits sabots. Au menu de Noël, ce sont toutes les spécialités du terroir qui sont à la fête comme les escargots persillés, la fricassée de fressure ou les oeufs meurette.

Le calendo provençal En Provence , Noël est un événement de taille qui fait renaître des traditions ancestrales. Une période où les fameux santons font leur apparition dans les crèches. Représentation idéale du village provençal, ce sont toutes les personnalités du village, meunier, boulanger, berger... qui prennent place autour de la Sainte famille. Autre coutume provençale qui régale les gourmands : le festin des 13 desserts que l'on doit au nombre de convives de la Cène. Fougasses, nougats, fruits et mendiants sont disposés sur trois nappes de taille décroissante qui symbolisent la sainte Trinité. Pour ce repas de Noël, la tradition veut que l'on décore la table avec le blé de la sainte barbe et une branche de Houx porte-bonheur. Dans certains foyers on dresse encore un couvert de plus, celui du pauvre.

En france, Noël est une fête, petits et grands sont unanimes. Pourtant, chaque région a hérité de traditions qui leur est propre. Féérie de Noël en Alsace Les traditions de Noël sont très ancrées dans le terroir alsacien où les fêtes commencent au début de l'Avent (le 25 novembre) jusqu'au 6 janvier, jour de l'épiphanie. Pendant cette période, on allume chaque dimanche les bougies de la couronne de l'avent, ornée de pommes de pin, de pommes ou de tranches d'orange séchées. En Alsace, les enfants guettent avec impatience le 6 décembre le passage de Saint-Nicolas dont la hotte déborde de bonbons, de pain d'épice et de clémentines. Mais pas de Noël alsacien sans "bredele", ces petits gâteaux en forme de sapin, de coeur ou d'étoile, qui participent à la magie des fêtes.

Je vous apporte la sagesse. La tendresse d' un regard. L' amitié à partager le regard de l' espérance .La joie de chaque jour .Un coin où vous abriter. Un coin où vous chauffer .Un abris pour vos jours gris .Un moment d' évasion quand vous en aurez besoin. Vous y trouverez un écrin. Un jardin. Cet écrin c 'est mon cœur qui renferme l' ami(e) et qu 'avec vous je veux partager. C' est des vagues, un océan. Des choses à partager. Une tranche de vie

merci à vous tous et papou je t'aime fort bises ta famille et tes quatres pattes

ainsi que les membres de se forum !!!

fleur

fleur on t'aimes aussi

:adore:

Merci Fleur : Envoie bisous à toi aussi

fleur a écrit:

Dans les Noël d'antan en Bourgogne , les enfants chantaient de maison en maison la veille de Noël et recevaient des friandises, non pas du père Noël, mais d'une bûche ! Une bûche qui devait brûler toute la nuit de Noël afin que la Vierge puisse venir s'y réchauffer et que l'on creusait pour la remplir de gourmandises, fruits secs, bonbons et fleurs séchées. Le jeu consistait pour les enfants à les attraper avec un bâton. Pas de père Noël en Bourgogne, mais le père Janvier qui déposait des étrennes dans les petits sabots. Au menu de Noël, ce sont toutes les spécialités du terroir qui sont à la fête comme les escargots persillés, la fricassée de fressure ou les oeufs meurette.

je confirme je suis en franche comte mais je suis de la bourgogne et les noels d antan dans cette region que du bonheur