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 Internet sait-il tout de nous ?

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MessageSujet: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 0:52

:aime:

Internet sait-il tout de nous ?



SERIE D'ETE #1 - Vie privée, données personnelles... Internet nous espionne. Premier volet de notre enquête sur les mythes et fantasmes du web.


:aime:


Comment ne pas se perdre dans le dédale des conditions d'utilisation et de vie privée mises en place par les géants d'Internet ? "Le Nouvel Observateur" vous aide à vous y retrouver.

"On ne fait pas vraiment attention aux informations privées disponibles sur internet mais, une fois synthétisées, elles prennent soudain un relief inquiétant." En novembre 2008, le magazine "Le Tigre" a réussi à dresser en détails le portrait d'un certain Marc L., sans jamais le rencontrer, via des informations très personnelles recueillies sur le web. Facebook, Google et les autres géants du net disposent d'une mine d'informations sur leurs utilisateurs. Données parfois intimes qui permettent de dresser un profil intéressant pour les publicitaires. Pas étonnant donc que les patrons de ces groupes essayent de mettre fin à l'anonymat.

76 jours. C'est la durée qu'il vous faudrait pour lire toutes les conditions d'utilisation et de vie privée des sites que vous utilisez au cours d'une année, selon deux chercheurs à l'université de Carnegie Melon aux Etats-Unis. Ils précisent : si tous les Américains les lisaient toutes, cela coûterait 781 milliards de dollars à l'économie du pays sur un an. Des utilisateurs ont donc décidé de se réunir pour lire toutes les conditions d'utilisation de différents sites utilisés par les internautes du monde entier afin d'expliquer quels sont les abus et classer ceux qui vont trop loin. Le site "Terms of service, didn't read" (conditions d'utilisation, non lues) permet à ceux qui sont perdus de s'y retrouver.

Une infographie publiée sur le site Mashable a aussi recensé ce que les réseaux sociaux savent de nous. Pour autant, internet sait-il tout de ses utilisateurs ?

Facebook, le réseau trop curieux

En matière de vie privée, un site est régulièrement pointé du doigt : Facebook. Des Américains ont par exemple réclamé 15 millions de dollars pour atteinte à la vie privée puisque le réseau social aux 955 millions d'utilisateurs continuait de recueillir des informations sur leur navigation alors même qu'ils étaient déconnectés.

Lorsqu'un jeune étudiant autrichien de 24 ans, Max Schrems, a exigé les données que le groupe possède à propos de lui, il a reçu un document de 1.222 pages. Tout y est archivé : les statuts et messages effacés, les tags sur les photos, les pokes, les demandes d'amis refusées... Mais aussi les ordinateurs qu'il avait utilisé pour se connecter, et les lieux où il avait signalé qu'il se trouvait avec l'heure, la longitude, la latitude et le téléphone utilisé pour se localiser. Une vie entière sur le réseau.

Max Schrems a par la suite publié sur son site, un kit permettant aux internautes de porter plainte auprès de la Commission européenne contre le site de Mark Zuckerberg. Selon "Terms of service, didn't read", Facebook se réserve le droit de conserver toute information ou photo partagée (le délai a été réduit à 30 jours le 17 août dernier), même lorsque l'internaute a fermé son profil. Difficile de ne pas laisser de traces après avoir livré sa vie privée au site, en particulier si d'autres l'ont fait. Confession religieuse, opinion politique, nombre d'enfants... Facebook s'intéresse à tout.

Pourtant, seuls le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe sont obligatoires, selon les conditions d'utilisation. Et gare au mensonge : qui donne de fausses informations est susceptible de voir son profil suspendu ou supprimé. Pour tout le reste, Facebook rappelle qu'il s'agit d'"informations que vous choisissez de partager". Statut, un lien publié, une photo... Une foule d'informations reçues et conservées par le réseau social.

Rien n'empêche de créer un profil incomplet, même si Facebook œuvre pour la fin de l'anonymat sur son réseau. Selon le quotidien britannique "Guardian", 8,7% des profils sur le site n'appartiennent pas à de vraies personnes : profils de chien, double profil, spam, les raisons sont nombreuses pour créer ce type de page. 14 millions de comptes ne seraient ainsi lancés que pour spammer les utilisateurs de Facebook.

Google, le collecteur

Outre Facebook, les commentateurs et les polémiques aiment à critiquer le géant du web Google. A regarder de plus près les conditions d'utilisation, difficile de s'y retrouver. Pas moins de 70 versions différentes de documents relatifs à la vie privée existaient. Le groupe de Moutain View a donc décider de les harmoniser en mars dernier. Cette dernière version des règles relatives à la vie privée et à la confidentialité donne le détail des informations collectées sur l'internaute.

Dès la création d'un compte pour l'un des services de la galaxie Google (Gmail, Blogger, YouTube, Android, etc.), le groupe recueille nom, adresse e-mail, numéro de téléphone, adresse postale, voire numéro de carte de paiement. "Nous pouvons collecter des données relatives aux services que vous utilisez et l'usage que vous en faites, par exemple lorsque vous visitez un site web qui utilise nos services publicitaires ou lorsque vous visionnez nos annonces et nos contenus et interagissez avec ces éléments", indique encore Google. Le géant récupère ainsi des informations relatives à l'appareil utilisé (ordinateur, mobile ou tablette) pour se connecter : "modèle, version du système d'exploitation, identifiants uniques de l'appareil, données relatives au réseau mobile y compris [le] numéro de téléphone".

Google va plus loin puisque, pour chaque utilisateur, il crée "des journaux" qui inclut toutes les données précédentes, mais aussi le détail des recherches web, le détail des différentes géolocalisation, et des informations "relatives aux communications téléphoniques" à savoir "numéro de téléphone de l'appelant, heure et date des appels, durée, données des SMS..."

Et il va parfois plus loin. En début d'année, il a été condamné à une amende de 22,5 millions de dollars pour atteinte à la vie privée après avoir espionné les habitudes de navigation des utilisateurs du navigateur Safari d'Apple. Et la multiplication des services dont dispose Google (YouTube, Maps, Google+...) permet au groupe de recueillir toujours plus d'informations afin de proposer de la publicité toujours plus ciblée.

Pour se faire une idée de la masse d'informations dont dispose Google sur vous (et gérer l'ensemble en quelques clics), le géant propose le service baptisé Dashboard.

Sur Twitter, gare aux partenaires

Comme les autres sites, Twitter enregistre des données sur ses 140 millions d'utilisateurs. Données principalement livrées lors de l'inscription (nom, adresse e-mail), mais aussi des données de connexion (navigateur utilisé, adresse IP, géolocalisation, éventuellement téléphone utilisé).

Toutes ces informations plus ou moins personnelles (Twitter autorise les pseudonymes) sont également partagées avec les partenaires que l'internaute choisit d'accepter. Ce sont ces partenaires qui parfois ont des conditions d'utilisation ambiguës vis-à-vis de la vie privée. Par exemple, le site Twitpic qui permet de publier des photos sur Twitter, considère que pour chaque image publiée, l'internaute cède entièrement ses droits (copyright). Même si la photo est effacée, elle ne l'est pas définitivement du site qui conserve tout. De quoi voir Twitpic épinglé par "Terms of service, didn't read".

Twitter peut changer ses conditions d'utilisation très facilement, en envoyant un e-mail ou un tweet sur son compte officiel. Le site l'avait fait en 2009, ne prévenant que quelques heures avant de changements majeurs ses utilisateurs.

Par ailleurs, même si un compte est effacé, le site de micro-blogging conserve les données personnelles pendant 30 jours supplémentaires.

Le Bon Coin, Amazon, La Redoute : e-commerce et vie privée

Les réseaux sociaux ne sont pas les seuls à collecter nombre de données personnelles. Les sites de e-commerce comme Le Bon Coin, Amazon ou La Redoute disposent également d'une montagne d'informations privées. Le Bon Coin, qui totalise plus de 3,3 milliards de pages vues par mois, a pour habitude de conserver toutes les recherches effectuées par ses utilisateurs. Utilisateurs dont il aime savoir les noms, prénoms, adresses e-mail et numéros de téléphone. L'occasion pour le site d'envoyer des propositions commerciales ou promotionnelles ou des enquêtes de satisfaction.

De son côté, Amazon va plus loin en réclamant en plus l'adresse postale et les informations bancaires. De plus, le site conserve l'historique de tous les produits achetés, l'ensemble des commentaires publiés et tous les messages adressés.

Enfin, La Redoute invite ses utilisateurs à créer un compte et réclame nom, prénom, adresse postale, adresse e-mail, numéro de téléphone, date de naissance et nombre d'enfants. Par la suite, le site peut "vous demander des informations par le biais de questionnaires [...] Informations destinées à mieux vous connaître et, par conséquent, facultatives." Facultatives mais prisées par La Redoute qui peut s'en servir pour "adresser des offres commerciales par e-mail, SMS, téléphone" si accord. Ces données personnelles peuvent également être, à nouveau si accord de l'internaute, "communiquées aux partenaires commerciaux [ou] être transmises à d'autres entreprises du groupe Redcats et PPR".

Être invisible, c'est possible

Les sites qui recueillent des données personnelles ont souvent dans l'idée de monétiser ces informations. "The Atlantic" a par exemple montré que chaque fois que vous vous rendez sur un site, des données sont envoyées à des compagnies différentes, dont des filiales de Microsoft et Google, qui repèrent votre visite et adaptent en fonction leurs publicités.

Si la collecte est devenue règle du web gratuit, il est encore possible d'être invisible sur internet. Des journalistes ont ainsi passé des heures à essayer de retrouver la trace numérique de James Holmes, l'auteur de la tuerie d'Aurora dans le Colorado (Etats-Unis), sans succès. La faute peut-être à son nom, très commun, noyé dans l'incroyable masse d'informations disponibles su les réseaux.

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 0:55

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 0:56

Comment ne pas se perdre dans le dédale des conditions d'utilisation et de vie privée mises en place par les géants d'Internet ? "Le Nouvel Observateur" vous aide à vous y retrouver.

"On ne fait pas vraiment attention aux informations privées disponibles sur internet mais, une fois synthétisées, elles prennent soudain un relief inquiétant." En novembre 2008, le magazine "Le Tigre" a réussi à dresser en détails le portrait d'un certain Marc L., sans jamais le rencontrer, via des informations très personnelles recueillies sur le web. Facebook, Google et les autres géants du net disposent d'une mine d'informations sur leurs utilisateurs. Données parfois intimes qui permettent de dresser un profil intéressant pour les publicitaires. Pas étonnant donc que les patrons de ces groupes essayent de mettre fin à l'anonymat.

76 jours. C'est la durée qu'il vous faudrait pour lire toutes les conditions d'utilisation et de vie privée des sites que vous utilisez au cours d'une année, selon deux chercheurs à l'université de Carnegie Melon aux Etats-Unis. Ils précisent : si tous les Américains les lisaient toutes, cela coûterait 781 milliards de dollars à l'économie du pays sur un an. Des utilisateurs ont donc décidé de se réunir pour lire toutes les conditions d'utilisation de différents sites utilisés par les internautes du monde entier afin d'expliquer quels sont les abus et classer ceux qui vont trop loin. Le site "Terms of service, didn't read" (conditions d'utilisation, non lues) permet à ceux qui sont perdus de s'y retrouver.

Une infographie publiée sur le site Mashable a aussi recensé ce que les réseaux sociaux savent de nous. Pour autant, internet sait-il tout de ses utilisateurs ?

Facebook, le réseau trop curieux

En matière de vie privée, un site est régulièrement pointé du doigt : Facebook. Des Américains ont par exemple réclamé 15 millions de dollars pour atteinte à la vie privée puisque le réseau social aux 955 millions d'utilisateurs continuait de recueillir des informations sur leur navigation alors même qu'ils étaient déconnectés.

Lorsqu'un jeune étudiant autrichien de 24 ans, Max Schrems, a exigé les données que le groupe possède à propos de lui, il a reçu un document de 1.222 pages. Tout y est archivé : les statuts et messages effacés, les tags sur les photos, les pokes, les demandes d'amis refusées... Mais aussi les ordinateurs qu'il avait utilisé pour se connecter, et les lieux où il avait signalé qu'il se trouvait avec l'heure, la longitude, la latitude et le téléphone utilisé pour se localiser. Une vie entière sur le réseau.

Max Schrems a par la suite publié sur son site, un kit permettant aux internautes de porter plainte auprès de la Commission européenne contre le site de Mark Zuckerberg. Selon "Terms of service, didn't read", Facebook se réserve le droit de conserver toute information ou photo partagée (le délai a été réduit à 30 jours le 17 août dernier), même lorsque l'internaute a fermé son profil. Difficile de ne pas laisser de traces après avoir livré sa vie privée au site, en particulier si d'autres l'ont fait. Confession religieuse, opinion politique, nombre d'enfants... Facebook s'intéresse à tout.

Pourtant, seuls le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe sont obligatoires, selon les conditions d'utilisation. Et gare au mensonge : qui donne de fausses informations est susceptible de voir son profil suspendu ou supprimé. Pour tout le reste, Facebook rappelle qu'il s'agit d'"informations que vous choisissez de partager". Statut, un lien publié, une photo... Une foule d'informations reçues et conservées par le réseau social.

Rien n'empêche de créer un profil incomplet, même si Facebook œuvre pour la fin de l'anonymat sur son réseau. Selon le quotidien britannique "Guardian", 8,7% des profils sur le site n'appartiennent pas à de vraies personnes : profils de chien, double profil, spam, les raisons sont nombreuses pour créer ce type de page. 14 millions de comptes ne seraient ainsi lancés que pour spammer les utilisateurs de Facebook.

Google, le collecteur

Outre Facebook, les commentateurs et les polémiques aiment à critiquer le géant du web Google. A regarder de plus près les conditions d'utilisation, difficile de s'y retrouver. Pas moins de 70 versions différentes de documents relatifs à la vie privée existaient. Le groupe de Moutain View a donc décider de les harmoniser en mars dernier. Cette dernière version des règles relatives à la vie privée et à la confidentialité donne le détail des informations collectées sur l'internaute.

Dès la création d'un compte pour l'un des services de la galaxie Google (Gmail, Blogger, YouTube, Android, etc.), le groupe recueille nom, adresse e-mail, numéro de téléphone, adresse postale, voire numéro de carte de paiement. "Nous pouvons collecter des données relatives aux services que vous utilisez et l'usage que vous en faites, par exemple lorsque vous visitez un site web qui utilise nos services publicitaires ou lorsque vous visionnez nos annonces et nos contenus et interagissez avec ces éléments", indique encore Google. Le géant récupère ainsi des informations relatives à l'appareil utilisé (ordinateur, mobile ou tablette) pour se connecter : "modèle, version du système d'exploitation, identifiants uniques de l'appareil, données relatives au réseau mobile y compris [le] numéro de téléphone".

Google va plus loin puisque, pour chaque utilisateur, il crée "des journaux" qui inclut toutes les données précédentes, mais aussi le détail des recherches web, le détail des différentes géolocalisation, et des informations "relatives aux communications téléphoniques" à savoir "numéro de téléphone de l'appelant, heure et date des appels, durée, données des SMS..."

Et il va parfois plus loin. En début d'année, il a été condamné à une amende de 22,5 millions de dollars pour atteinte à la vie privée après avoir espionné les habitudes de navigation des utilisateurs du navigateur Safari d'Apple. Et la multiplication des services dont dispose Google (YouTube, Maps, Google+...) permet au groupe de recueillir toujours plus d'informations afin de proposer de la publicité toujours plus ciblée.

Pour se faire une idée de la masse d'informations dont dispose Google sur vous (et gérer l'ensemble en quelques clics), le géant propose le service baptisé Dashboard.

Sur Twitter, gare aux partenaires

Comme les autres sites, Twitter enregistre des données sur ses 140 millions d'utilisateurs. Données principalement livrées lors de l'inscription (nom, adresse e-mail), mais aussi des données de connexion (navigateur utilisé, adresse IP, géolocalisation, éventuellement téléphone utilisé).

Toutes ces informations plus ou moins personnelles (Twitter autorise les pseudonymes) sont également partagées avec les partenaires que l'internaute choisit d'accepter. Ce sont ces partenaires qui parfois ont des conditions d'utilisation ambiguës vis-à-vis de la vie privée. Par exemple, le site Twitpic qui permet de publier des photos sur Twitter, considère que pour chaque image publiée, l'internaute cède entièrement ses droits (copyright). Même si la photo est effacée, elle ne l'est pas définitivement du site qui conserve tout. De quoi voir Twitpic épinglé par "Terms of service, didn't read".

Twitter peut changer ses conditions d'utilisation très facilement, en envoyant un e-mail ou un tweet sur son compte officiel. Le site l'avait fait en 2009, ne prévenant que quelques heures avant de changements majeurs ses utilisateurs.

Par ailleurs, même si un compte est effacé, le site de micro-blogging conserve les données personnelles pendant 30 jours supplémentaires.

Le Bon Coin, Amazon, La Redoute : e-commerce et vie privée

Les réseaux sociaux ne sont pas les seuls à collecter nombre de données personnelles. Les sites de e-commerce comme Le Bon Coin, Amazon ou La Redoute disposent également d'une montagne d'informations privées. Le Bon Coin, qui totalise plus de 3,3 milliards de pages vues par mois, a pour habitude de conserver toutes les recherches effectuées par ses utilisateurs. Utilisateurs dont il aime savoir les noms, prénoms, adresses e-mail et numéros de téléphone. L'occasion pour le site d'envoyer des propositions commerciales ou promotionnelles ou des enquêtes de satisfaction.

De son côté, Amazon va plus loin en réclamant en plus l'adresse postale et les informations bancaires. De plus, le site conserve l'historique de tous les produits achetés, l'ensemble des commentaires publiés et tous les messages adressés.

Enfin, La Redoute invite ses utilisateurs à créer un compte et réclame nom, prénom, adresse postale, adresse e-mail, numéro de téléphone, date de naissance et nombre d'enfants. Par la suite, le site peut "vous demander des informations par le biais de questionnaires [...] Informations destinées à mieux vous connaître et, par conséquent, facultatives." Facultatives mais prisées par La Redoute qui peut s'en servir pour "adresser des offres commerciales par e-mail, SMS, téléphone" si accord. Ces données personnelles peuvent également être, à nouveau si accord de l'internaute, "communiquées aux partenaires commerciaux [ou] être transmises à d'autres entreprises du groupe Redcats et PPR".

Être invisible, c'est possible

Les sites qui recueillent des données personnelles ont souvent dans l'idée de monétiser ces informations. "The Atlantic" a par exemple montré que chaque fois que vous vous rendez sur un site, des données sont envoyées à des compagnies différentes, dont des filiales de Microsoft et Google, qui repèrent votre visite et adaptent en fonction leurs publicités.

Si la collecte est devenue règle du web gratuit, il est encore possible d'être invisible sur internet. Des journalistes ont ainsi passé des heures à essayer de retrouver la trace numérique de James Holmes, l'auteur de la tuerie d'Aurora dans le Colorado (Etats-Unis), sans succès. La faute peut-être à son nom, très commun, noyé dans l'incroyable masse d'informations disponibles su les réseaux.



> Retrouvez les autres volets de notre série d'été :

- Notre vie privée est-elle en vente sur internet ?

- Internet est-il un repaire de pédophiles ?
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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 0:57

Je suis suivi: Comment Google-et 104 autres sociétés-me de suivi sur le Web§§

Ce matin, si vous avez ouvert votre navigateur et se rendit à NYTimes.com, une chose incroyable s'est produit dans les millièmes de secondes entre votre clic et quand les nouvelles de la Corée du Nord et James Murdoch est apparu sur votre écran. Les données de cette seule visite a été envoyée à 10 entreprises différentes, y compris Microsoft et Google filiales, une tripotée de trafic de journalisation des sites, et d'autres, plus petites agences de publicité. Presque instantanément, ces entreprises peuvent identifier votre visite, placer des annonces sur mesure pour vos yeux en particulier, et l'ajouter au fichier en ligne sans cesse croissante sur vous.

Il n'y a rien de sinistre nécessairement cet échange souterraine de données: il s'agit, après tout, l'écosystème de la publicité qui prend en charge gratuite du contenu en ligne. Toutes les données permet aux annonceurs d'optimiser leurs annonces, et le reste de l'enregistrement des informations leur permet de mesurer à quel point les choses fonctionnent réellement. Et je ne veux pas m'acharner sur le New York Times. En visitant le Huffington Post ou The Insider Atlantique ou de l'entreprise, le même processus se produit à un degré plus ou moins grand. Chaque mouvement que vous faites sur Internet est une valeur de quelque petite quantité à quelqu'un, et une panoplie d'entreprises veulent s'assurer qu'aucune étape de votre périple Internet va non monétisé.

Même si vous êtes généralement familiers avec l'idée de collecte de données pour la publicité ciblée, le nombre et la variété de ces collecteurs de données va probablement vous étonner. Permettez-moi de vous présenter la liste des entreprises qui suivent les mouvements de mes sur Internet dans une récente période de 36 heures de surf Web standard: Acerno. Adara médias. Adblade. Adbrite. ADC oignon. Adchemy. Adify. AdMeld. Adtech. La connaissance globale. AlmondNet. Aperture. AppNexus. Atlas. Audience Science.

Et ce n'est que le sous. Ma liste complète comprend 105 entreprises, et il ya des dizaines d'autres à celle de l'existence. Vous aussi, vous pouvez également compiler votre propre liste en utilisant l'outil de Mozilla, Collusion , qui enregistre les entreprises qui capturent des données vous concernant, ou, plus précisément, votre auto numérique.

Alors que les grands noms - Google, Microsoft, Facebook, Yahoo, etc - se présentent dans ce catalogue, dont la majeure partie est composée de petites entreprises de publicité et de données qui forment un tissu ombre des entreprises qui veulent aider vous montrer publicité que vous êtes plus enclins à cliquer sur les produits que vous êtes plus susceptibles d'acheter.

Pour être clair, ces entreprises de recueillir des données sans l'attacher à votre nom, ils utilisent ces données pour vous montrer que vous êtes statistiquement annonces plus enclins à cliquer. C'est le jeu, et il ya de l'argent dans celle-ci.

En tant qu'utilisateurs, nous passons à travers nos expériences Internet inconscients des machines souterraines alimentant barattage nos pages web avec leurs cookies et pixels trackers, leur code de suivi et bases de données. Nous magasiner pour les traiteurs de mariage et tout à coup voir des annonces anneaux apparaissent sur des pages Web aléatoires, nous sommes invités. Nous pensons parfois que les annonces qui nous suivent autour de l'Internet sont «chair de poule». Nous nous sentons parfois observé. Est-ce important? Nous ne savons pas vraiment quoi penser.

Les problèmes de l'industrie soulève n'existaient pas lorsque Ronald Reagan était président et étaient seulement à l'état naissant quand les tours jumelles est tombé. Ce sont des phénomènes de notre temps et bien qu'il existe de nombreuses formes antérieures de la publicité, jamais auparavant dans l'histoire de l'existence humaine a été tellement de données recueillies sur tant de gens dans le seul but de leur vendre des annonces.

"Les grands esprits de ma génération réfléchissent à la manière de rendre les gens cliquent sur ​​les annonces", mon vieil ami et employé dès Facebook Jeff Hammerbacher a dit une fois . "C'est nul", at-il ajouté, mais de plus en plus je pense que ces questions -. Comment nous déplacer "librement" en ligne, ou plus exactement, comment nous payer d'une manière ou d'une autre - sont en fait le bord d'attaque d'une discussion beaucoup plus grand sur la relation entre nous-mêmes numériques et physiques. Je ne veux pas théoriquement ou psychologiquement. Je veux dire que les normes établies pour améliorer la façon dont souvent les gens cliquent sur ​​les annonces peuvent finir par savoir qui vous êtes vu par une banque ou un partenaire romantique ou un détaillant qui vend des chaussures.

Déjà, les sites Web que vous visitez avant de se restructurer vous une école de poissons carnivores, et ce n'est que le début. À l'heure actuelle, une énorme partie de ce que vous avez déjà regardé sur Internet est assis dans les bases de données partout dans le monde. La ligne de séparation tout ce qu'il peut dire sur vous, bonne ou mauvaise, est aussi mince que les lettres de votre nom. Si et quand le mur tombe en panne, les chiffres peuvent submerger le nom. Le profil créé inconsciemment peut signifier plus que l'auto examen, j'ai cherché à construire.

La plupart des débats de confidentialité ont été formulées en technique. Nous avons lu sur la façon dont Google contourné les paramètres de confidentialité de Safari, quels qu'ils étaient. Ou on peut lire les détails sur la façon dont Facebook vous suit avec ces boutons friendly Vous aimez. Derrière les détails, cependant, sont un enchevêtrement de questions philosophiques qui sont au cœur de la lutte entre les partisans de confidentialité et de publicité en ligne: Qu'est-ce que l'anonymat? Qu'est-ce que l'identité? La similitude des hommes et des machines? Cet essai est une tentative de réfléchir à ces questions.

Les mauvaises nouvelles sont que les gens n'ont pas pris le contrôle des données qui sont recueillies et échangées à leur sujet. Les bonnes nouvelles sont que - dans un sens tout à fait littéral - il suffit de penser différemment à propos de cette affaire de la publicité peut changer la façon dont il fonctionne. Après tout, si vous prenez ces entreprises à leur parole, ils sont là pour servir les utilisateurs autant que de servir leurs clients.

***
Avant d'aller plus en profondeur, nous allons parler de la réalité de l'industrie de l'affichage publicitaire en ligne. (Cela signifie que, pour l'essentiel, toutes les annonces ne sont pas associés à une recherche sur le Web.) Il ya un nombre étourdissant d'entreprises et des services qui peuvent tous faire de l'argent en aidant les annonceurs à cibler un teensy, peu weensy mieux que le gars à côté. Ce sont des entreprises qui doivent faire leurs preuves assez étroitement des revenus et des bénéfices mesurables, la concurrence est féroce, le prix est élevé, et les stratégies sont en constante évolution. Voici la diversité au niveau des récifs coralliens de la vie de l'entreprise dans l'affichage publicitaire, étant catalogué par Luma partenaires un peu plus d'un an:
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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 0:58

:aime:

Ne soyez pas trop pris dans tout cela, cependant. Il ya trois catégories de base: Essentiellement, il ya des gens qui aident les acheteurs (à gauche), les personnes qui aident les vendeurs (à droite), et tout un tas de gens qui aident chaque côté avec des données plus ou un service plus rapide ou mieux mesure. Faisons un zoom sur trois d'entre eux - seulement de l 'As - pour vous donner une idée du genre de tenues dont nous parlons.

Examinons trois sociétés de notre liste des sous. Adnetik est un standard de l'entreprise cible qui utilise enchères en temps réel. Ils peuvent offrir des publicités ciblées en fonction de la façon dont les utilisateurs agissent (comportement), qui ils sont (démographique), où ils vivent (géographique), et qui ils semblent comme en ligne (sosie), ainsi que ce qu'ils appellent "la proximité sociale." Ils donnent également aux annonceurs la possibilité de choisir les types de sites sur lesquels leurs annonces seront diffusées sur la base de "paramètres comme la valeur de la marque éditeur, la pertinence contextuelle à l'annonceur, la sécurité de la marque, le niveau de l'encombrement publicitaire et un contenu de qualité."

Il est intéressant de noter comment cette pratique est différente de la publicité traditionnelle. Le contrat social entre les annonceurs et les publications utilisées à ce que les publications recueillies types de personnes dans ce qu'on appelle une audience, puis annonceurs acheté annonces dans cette publication pour atteindre ce public. Il était un art à elle, et certaines publications ont un cachet et d'autres pas. La publicité en ligne bouleverse tout cela: Maintenant, vous pouvez acheter le public sans la publication. Vous voulez un lecteur de l'Atlantique? Super! Certaines réseau ad peux vous vendre à quelqu'un qui a été à l'Atlantique, mais est en train de lire à propos de lotion pour les mains à KnowYourHandLotions.com. Et ils vont vous vendre cet ensemble de globes oculaires pour un cinquième du prix. Vous pouvez enchérir en temps réel sur un ensemble de ces globes oculaires sur des millions de sites sans jamais parler à un vendeur de publicité. (Bien sûr, un tel compromis a un coût, que nous allons voir bientôt.)

Adnetik propose également un service appelé "reciblage" qu'un autre A-entreprise, AdRoll , se spécialise po Voici comment cela fonctionne. Disons que vous êtes un marchand de chaussures en ligne. Quelqu'un vient à votre magasin, mais ne pas acheter quelque chose. Alors qu'ils sont là, vous laissez tomber un cookie sur eux. Par la suite, vous pouvez cibler vos annonces sur eux, sachant qu'ils sont au moins modérément intéressé. Encore mieux, vous pouvez déposer des cookies sur tous ceux qui viennent à regarder les chaussures et ensuite regarder pour voir qui revient à acheter. Ces gens deviendront vos données d'entraînement, et bientôt vous êtes seulement "reciblage" ces gens avec un profil de données qui indique qu'ils sont susceptibles d'acheter quelque chose de vous par la suite. Il est lisse, surtout si les gens ne remarquent pas que les paires de chaussures qu'ils ont trouvé la volonté de ne pas acheter juste arriver à être à apparaître sur leurs sites préférés jardinage.

Il ya beaucoup de choses puissantes que vous pouvez faire une fois que vous avez des données sur l'utilisateur, de sorte que les gros soucis pour les annonceurs online passer à l'inventaire lui-même achat d'une page dans un magazine est un processus par lequel les annonceurs ont un contrôle significatif. Mais ces types des annonces en ligne pourrait éventuellement fonctionner n'importe où. Après tout, de nombreux réseaux publicitaires besoin de tout l'inventaire qu'ils peuvent obtenir, alors qu'ils s'inscrivent toutes sortes de fournisseurs de contenu. Et c'est là que notre société tierce entre en scène.

AdExpose , maintenant une société comScore, regarde où et comment les annonces sont effectués afin de déterminer si leurs acheteurs ont eu pour leur argent. «Jusqu'à 80% des publicités interactives sont vendus et revendus par des tiers», ils l'ont mis sur leur site web. "Ce daisychaining fait baisser la valeur des annonces en ligne et les annonceurs ne savent pas toujours où leurs annonces ont été diffusées." Pour résoudre ce problème, AdExpose prétend fournir une vérification indépendante du placement d'une annonce.

Les trois entreprises veulent en savoir autant sur moi et ce qui est sur mon écran comme ils le peuvent, même si elles ont des raisons différentes de leur intérêt. Aucun d'entre eux semblent comme des entreprises mal, ils ne sont pas des sociétés singulières. Comme une grande partie de cette industrie, ils semblent croire en ce qu'ils font. Ils offrent une publicité plus pertinente pour les consommateurs et qui fait plus d'argent pour les entreprises. Ils sont simplement des outils pour améliorer la force de préhension de la main invisible.

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 1:00

[spoilerEt pourtant, la révélation que 105 tenues différentes ont été la collecte et vraisemblablement la vente de données me concernant sur Internet me donne à réfléchir. Ce n'est pas seulement Google ou Facebook ou Yahoo. Il ya littéralement des douzaines et des douzaines de ces entreprises et l'utilisateur moyen n'a aucune idée de ce qu'ils font ou comment ils fonctionnent. Nous savons juste que pour une raison quelconque, à un moment ou un autre, une organisation a chuté d'un cookie sur nous et nous avons créé un fichier sur un serveur, accumule constamment des clics et des habitudes qui finira par être exploités et commercialisés.

L'industrie de la publicité en ligne soutient que la technologie évolue si rapidement que la réglementation n'est pas la réponse à ma nausée à propos de toutes les données de partir pour on ne sait où. Le problème, cependant, est que la version de l'industrie de l'auto-régulation n'est pas celle que la plupart des gens s'attendent ou d'accord, comme je l'ai constaté moi-même.

Après l'exécution de collusion pendant quelques jours, je voulais voir s'il y avait une méthode simple pour arrêter la collecte de données. Naïvement, je suis allé à la place d'autoréglementation géré par la Network Advertising Initiative et ont terminé leur "Opt Out" forme. Je l'ai fait pour les dizaines de sociétés cotées en bourse et je dirais que c'est un processus simple et efficace nominalement. Cela dit, je n'étais pas sûr si les données ne cessent d'être collectées sur moi ou non. Le site lui-même ne dit pas que la collecte de données s'arrête, mais ce n'est pas non plus évident que la collecte de données se poursuivra. En fait, la vue d'ensemble des principes ICN se mélange librement parler de la façon dont le code de l'organisation "limite les types de données que les entreprises membres peuvent utiliser" des informations sur le processus d'opt-out.

Après opting out, je suis retourné à la collusion de voir si les entreprises étaient encore me suivre. J'ai trouvé que beaucoup, beaucoup d'entreprises semblent être l'enregistrement des données pour moi. Selon Mozilla, la version actuelle de collusion ne me permet pas de voir précisément ce que les entreprises sont encore suivi, mais les chercheurs de Stanford en utilisant collusion trouvé qu'au moins certaines entreprises continuent à recueillir des données. Tout ce que j'avais «retiré» de recevoir des publicités ciblées a été, non pas la collecte de données. Il n'existe aucun moyen, à travers les propres des sociétés d'autoréglementation appareil, cesser d'être suivis en ligne. Aucun.

Après ces chercheurs de Stanford ont posté leurs résultats à un blog université, ils ont reçu une vive réaction de la NAI a alors chef, Chuck Curran .

En substance, Curran a fait valoir que les utilisateurs n'ont pas le droit de ne * pas * être suivis. «Nous avons depuis longtemps reconnu que les consommateurs devraient disposer d'un choix quant à savoir si des données sur leurs intérêts susceptibles peut être utilisé pour rendre leurs annonces plus pertinentes», écrit-il. "Mais le code NAI reconnaît également que les entreprises ont parfois besoin de continuer à recueillir des données pour des raisons opérationnelles qui sont séparés de ciblage publicitaire basé sur le comportement en ligne des utilisateurs."

Les entreprises «doivent continuer à recueillir des données», mais qui contraste directement avec les utilisateurs souhaitent «ne pas être suivi." Le seul droit que les annonceurs en ligne sont prêts à donner aux utilisateurs est la capacité de ne pas avoir à les annonces diffusées en fonction de leurs antécédents Web. Curran lui-même l'admet: «Il ya une différence essentielle entre la limitation de l'utilisation de données en ligne pour le ciblage et l'interdiction pure et simple de collecte de données."

Mais sur la base de l'enquête rares et des données anecdotiques dont nous disposons, lorsque les utilisateurs se retirer empêcher la collecte de données est * précisément * ce qu'ils cherchent.

Les résultats préliminaires d'une enquête menée l'an dernier, Aleecia McDonald, chercheur à Stanford Center for Internet and Society, a révélé que les utilisateurs s'attendaient à une beaucoup plus de l'ensemble actuel des outils que ces outils offrent. Le plus grand pourcentage de son groupe d'enquête (34 pour cent) qui ont examiné l'ICN opt-out la page pensé que c'était "un site qui vous permet de dire aux entreprises de ne pas collecter des données vous concernant." Pour basée sur un navigateur "Do Not Track" outils, un plein 61 pour cent des répondants s'attendaient à ce que si ils ont cliqué sur un bouton par exemple, pas de données seraient recueillies à leur sujet.

Ne suivent pas les outils sont devenus un important point de discorde. L'idée est que si vous activez l'un dans votre navigateur, lorsque vous arrivez à le New York Times, vous envoyez un héraut devant toi qui dit: «Ne pas collecter des données sur moi." Les membres de l'ICN ont convenu, en principe, se conformer aux dispositions de DNT, mais maintenant, le débat s'est déplacé sur les détails.

Il est fascinant de mêlée sur ce "Do Not Track" outils devraient faire et ce que les ordres sites devront respecter des utilisateurs. L'Alliance Digital Advertising (dont l'ICN fait partie), la Federal Trade Commission, le W3C, l'Internet Advertising Bureau (également partie de la DAA), et des chercheurs de confidentialité dans les établissements universitaires sont tous impliqués. En Novembre, le DAA mis sur un nouvel ensemble de principes qui contiennent quelques bonnes idées comme l'interdiction de la «collecte, l'utilisation ou le transfert de la navigation sur Internet des données sur des sites Web pour la détermination de l'admissibilité d'un consommateur pour l'emploi, la cote de crédit de traitement des soins de santé et l'assurance. "

Cette semaine, la Maison Blanche a semblé se ranger du côté défenseurs de la confidentialité qui veulent limiter la collecte, utilise pas juste. Son projet de loi Confidentialité des droits des consommateurs pousse les entreprises à permettre aux utilisateurs de "exercer un contrôle sur ce que les entreprises personnelles données recueillir d'eux et comment ils l'utilisent." Le DAA annoncé sa participation dans le processus de la Maison Blanche, mais encore il a noté que c'est le début d'un long voyage.

Il ya eu une nette différence philosophique et réel entre les annonceurs et les régulateurs représentant internautes. D'une part, comme Stanford vie privée chercheur Jonathan Mayer a dit: «De nombreuses parties prenantes à la vie privée en ligne, y compris les États-Unis et les organismes de réglementation de l'UE, ont souligné à maintes reprises que le contrôle de la consommation effective, il faut restrictions sur la collecte de l'information, et pas seulement des interdictions sur les utilisations spécifiques d'information . " Mais les annonceurs veulent garder la collecte de données autant qu'ils peuvent dans la mesure où ils promettent de ne pas l'utiliser pour cibler la publicité. C'est pourquoi l'ICN opt-out programme fonctionne comme il le fait.

Il ne faut pas s'attarder trop longtemps sur la mise en œuvre technique ici: il peut y avoir certains thèmes autour desquels des compromis peuvent être trouvés. Certains définition de "Do Not Track" que l'industrie costumes et les gens de confidentialité peut être élaborée. Diverses questions liées aux différences entre les premiers biscuits et des tiers peuvent être résolus. Mais la bataille pour la collecte des données et le ciblage publicitaire va beaucoup plus loin que les tactiques, les problèmes techniques qui dominent la discussion .

Supposons que la bonne foi de la part de sociétés de publicité et d'affronter le front cette question: Si les utilisateurs sont en mesure d'arrêter la collecte des données, même si les entreprises ne font rien "mauvais" avec elle? Si cela devait être un droit que la Maison Blanche soutient, et plus important encore, pourquoi?

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 1:01

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 1:03

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? EmptyJeu 30 Aoû 2012 - 1:04

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MessageSujet: Re: Internet sait-il tout de nous ?   Internet sait-il tout de nous ? Empty

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