Nous sommes au manoir Overtoun House dont le domaine est situé sur une colline surplombant la rivière Clyde, a l'est de l'écosse.À quelques mètres de là, le Overtoun Bridge, un pont construit à la fin du dix neuvième siècle, qui sera surnommé 'The Dog Suicide Bridge' à cause de son incroyable histoire.
Sur ce pont écossais l'air y est paisibles et le paysage idyllique, pourtant, les habitants de la région n'osent plus y promener leurs chiens et craignent les lieux.Des rumeurs courent et elles prétendent que le pont de Overtoun serait hanté.Depuis les années 1950 ou 60, de nombreuses personnes déclarent que leurs chiens ont un comportement bizarre et inhabituel en traversant ce pont.Plus fou, certains se jettent dans le vide, a plus de quinze mètres hauteur sans aucune raison, laissant leurs propriétaire incrédule face à la mort subite de leurs compagnons.
Donna Cooper, déclare que son chien s'est arrêté à un moment, a mis ses pattes au-dessus du pont et a sauté dans le vide.
Fiona Craig, déclare que son compagnon à quatre pattes a courus vers le pont et a sauté.
Ken Low explique qu'il regardait la chute d'eau en bas du pont, quand son chien âgé de six ans s'est tout à coup jeté du parapet.
Les témoignages s'amoncellent et il n'y a pas la moindre explication sur ces morts mystérieuses.Plus de 50 chiens y auraient trouvés la mort, toujours de la même manière et toujours au même endroit, sur le côté droit du pont, sans aucune explication.Comme si quelque chose les avait attirés ou les effrayés.Fait étrange, certains des chiens auraient survécu et se seraient jetés du pont une nouvelle fois.
La population est terrorisée par les lieux et le mystère qui entoure ces morts canines inexpliqués ne tarde pas à être allègrement médiatisé par la presse et la radio.On parle du pont d'Overtoun comme du pont ou les chiens viennent pour se suicider.
Le vétérinaire comportemental, Kendel shepherd, pense que les chiens n'ont pas conscience de la différence entre maintenant et le futur ou aujourd'hui et demain.Pour elle il est donc improbable que des chiens puissent savoir que quelque chose est mauvais pour eux et que la seule solution serait de mourir, donc de se suicider.
Le docteur Ruper Sheldrake, biologiste, indique que les chiens sont capables de détecter des choses que nous ne pouvons pas détecter.Il est démontré que les chiens peuvent répondre à des sons que nous ne pouvons pas percevoir, serait-ce un indice menant à une explication ? Des spécialistes en acoustique sont venus sur le site pour étudier le lieu, mais ils n'ont rien décelé d'anormal.Des comportementalistes ont alors évoqué la présence de souris, d'écureuils ou de visons qui dégageraient de la rivière une odeur particulièrement attirante en combinaison avec les solides murs de la passerelle.
Mais étrangement ce phénomène n'aurait pas de précédent et serait une exclusivité du pont d'Overtoun Bridge.Avant que le pont n'existe, la mythologie Celte évoque ce lieu comme une brèche entre le monde terrestre et celui de l'au-delà.Pour certains habitants de la région, les lieux seraient maléfiques.Aujourd'hui encore le mystère règne toujours sur l'étrange pont de Overtoun, 'The Dog Suicide Bridge'.
Des armées qui disparaissent…
Depuis des siècles, de nombreux cas de disparitions sont restés inexpliquées. En 1707, lors de la guerre de succession en Espagne, 4000 hommes qui partaient en guerre contre les armées de Philippe V, ne sont jamais réapparus de derrière la chaîne montagneuse des Pyrénées. Pourtant la bataille n'a jamais eu lieu ! Les expéditions Espagnoles qui partirent à la recherche du régiment n'ont retrouvé ni corps, ni armes ou ni bagages. En 1858, c'est un bataillon de 650 soldats qui disparu dans la forêt de Saïgon. Un autre bataillon qui les suivait à 2 km, n'a rien observé de particulier sur l'itinéraire commun emprunté !Le bataillon de Norfolk- Le cas, le plus célèbre et le plus documenté est sûrement celui de la disparition du bataillon de Norfolk en 1915. Composé de 267 hommes, il défendait les positions Françaises et Anglaises contre les Allemands sur la presqu'île des Dardanelles (Mer noire). Dans cette région montagneuse, ils étaient partis prêter main forte à un corps d'armée Néo-Zélandais en difficulté.
Alors qu'ils s'enfonçaient dans la vallée, une autre compagnie de soldats du Commonwealth qui les observaient, furent témoins d'une étrange disparition. Ils virent descendre sur leurs camarades un épais nuage. Lorsque celui-ci se leva, le régiment avait disparu au fond d'une rivière asséchée. Un rapport sur ces évènements a été rédigé en 1917 (le rapport final de la commission des Dardanelles). Il évoque une étrange brume qui a recouvert le bataillon le 12 août, et suppose qu'il ait pu dissimuler des tranchées occupées par les Ottomans. Il relate également une bataille qui s'est déroulée à quelques kilomètres le même jour, et suggère que les morts du 5ème régiment étaient mêlés à ceux de cette bataille.
Les témoignages douteux de trois vétérans - Trois témoins Néo-zélandais sont revenus sur l'évènement en 1965. Ils confirmèrent qu'aucun soldat n'était ressorti de la brume après environ trois quarts d'heures le 21 août… Mais le rapport évoque le 12 août et on accusa les véterants de s'être trompés en évoquant le 4ème régiment, alors qu'il s'agissait du 5ème. Ces erreurs ont suffit à discréditer leurs témoignages aux yeux de nombreux sceptiques, qui ont conclu à la mort des soldats, suivie d'une putréfaction accélérée des corps sous une chaleur accablante.
Autres cas - Ce phénomène se reproduisit une nouvelle fois en 1937, lorsque les armées Japonaises envahirent une grande partie de la Chine. Déterminé à résister devant l'occupant, Li Fu Sien (colonel Chinois) plaça deux bataillons le long du Yang Tsé. Le lendemain matin, un des bataillons composé de 3000 hommes avait complètement disparu, sans qu'aucune des sentinelles placées le long du fleuve n'aperçoivent le moindre mouvement de troupes. Les archives Japonaises confirmèrent qu'aucune bataille n'avait eu lieu ce jour précis, et qu'aucun homme n'avait été fait prisonnier.
Le mystère des sphères de granit
Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules, certaines peuvent peser jusqu'a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de toute évidence elles seraient œuvres de la main de l'homme et l'on se demande encore comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusqu'à leur position actuelle.
On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l'Ohio, le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre “Les fils du soleil” a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut. Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s'étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes.
Dans le petit Etat du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d'une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !
Le célèbre explorateur suisse Erich von Däniken nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisent sous le soleil.
Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-il de galets géants qui auraient roulés dans le lit d'une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?
Erich von Däniken précise qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa à un certain moment, d'aller plus loin.
Ensuite après une heure de marche, assisté d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca “se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer”. Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.
Plusieurs possibilités - Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine (puisqu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là, pour une raison incompréhensible.
- Spoiler:
Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous plonge, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution. L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant : “La Lune clé de La Bible” paru chez l'éditeur “Julliard” en 1968 et en collection de poche “J'ai lu” (n°208) en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline que l'on appelle “l'Astroarchéologie”.
Explications- Aujourd'hui, on n'a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont on a constaté, que quel que soit leur diamètre aucune d'entre elles ne présente la moindre irrégularité. La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriqués, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 mètres de diamètre qui représente environ une aire de 5 mètres carrés et un volume de 8 mètres cubes, dans une roche aussi dure que le granit, qu'à l'aide de machines-outils programmables perfectionnées.
Il nous reste à découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus à réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.
Les archéologues réfutent cette interprétation, d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent à conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.
Conclusion - En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée : “Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables.”
Voilà donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont pour nous un grand mystère.