Le Galgo a une belle musculature et une silhouette élégante, soulignée par une tête fine et allongée, un poitrail profond, un ventre bien levretté et un long fouet tombant en faucille au repos.
Son allure typique est, par nature, le galop. Le trot doit être allongé, rasant, élastique et puissant.
Il existe deux variétés de Galgos :
L'une à poil serré, très fin, court, lisse, réparti sur toute la surface du corps, jusqu'aux espaces interdigitaux. Légèrement plus long à la partie postérieure des cuisses.
L'autre, appelée "barbudo", à poil dur mi-long - mais cette longueur peut varier - toujours réparti uniformément sur tout le corps. Le Galgo barbudo porte souvent barbe et moustaches, il a des sourcils très fournis et un toupet sur la tête.
Le Galgo est un lévrier très ancien. L'étymologie de son nom prouve ses origines celtes. Le mot galgo provient du nom canis gallicus donné par les Romains au Vertragus (ou ouertragoï), compagnon des Celtes qui avaient colonisé la partie occidentale de la péninsule Ibérique. Canis gallicus deviendra gallicus puis galgo. Selon Xavier Przezdjiecki4, "Galgo et Vertragus sont le prolongement du lévrier d'Asie introduit en Occident par les Celtes". Le Podenco, descendant du Tesem égyptien, a sans doute aussi participé à l'évolution du Galgo espagnol.
Au Moyen Âge espagnol et contrairement à la France ou à l'Angleterre, le Galgo appartenait aussi bien aux paysans, qu'aux bourgeois et aux nobles. Il était toutefois le favori des grands d'Espagne.
Source Wikipédia.
Si je vous parle des Galgos c'est parce que peu de personnes connaissent les souffrances et le martyr de ces chiens en Espagne............je ne mettrai aucune photo , je vous laisse le soin de découvrir ces atrocités sur google moi je ne peux pas supporter ces images.
Ces concours sont vivement dénoncés par certaines associationsLien 2. Les perdants sont systématiquement éliminés de façon cruelle, proportionnellement à leurs performances, pendus (appelée de façon sordide "technique du pianiste": le chien est pendu long ou court selon ses performances pour résister plus ou moins longtemps à l'étranglement, prenant appui sur ses pattes arrières), jetés au fond d'un puits, empoisonnés, abandonnés sans pouvoir s'échapper (retenus), affamés, amputés, traînés derrière une voiture jusqu'à ce que mort s'ensuive, vendus comme appâts de pêche, utilisés comme cibles vivantes pour le tir, comme proie pour des combats de chiens type pitbulls. Plusieurs dizaines de milliers d'entre eux sont ainsi sacrifiés tous les ans.
La législation en vigueur dans ce pays sur le droit des animaux ne serait pas appliquée envers les propriétaires. La fierté "bafouée" du chasseur dont le(s) chien(s) n'a/n'ont pas chassé à hauteur des exigences du propriétaire autoriserait ce dernier à punir son chien ou ses chiens en torturant et en imposant la mort qu'il choisit. On retrouve des similitudes avec la corrida et la mise à mort du taureau, le Galgo subissant cependant son sort et revenant parfois même vers son maître, amputé, éborgné...
De plus en plus d'Espagnols s'insurgent contre ces pratiques cruelles et souhaitent que les Galgueros soient sanctionnés quand ils maltraitent leurs chiens.
De plus, le statut de ce chien est quasi nul en Espagne, ainsi ce chien est considéré comme une sorte d'outil pour les chasseurs et ne dispose pas d'un statut le protégeant comme les autres animaux de compagnie. Il en résulte que, chaque année, des milliers de ces chiens sont non seulement abandonnés, mais souvent suppliciés, mutilés et tués par leurs maîtres en toute impunité. De nombreuses associations françaises luttent contre cette barbarie en menant des campagnes de sensibilisation, en influant pour faire changer la législation et surtout en proposant à l'adoption des galgos de tous âges.